contacts ] procès ] nouveautés ] mot d'accueil ] et les familles? ] qui est Joyeux ] les véritables CA ] ce qui se passe ] accueil-bis ]

Chronologie des évènements 

 

à Familles de France

 

Septembre 2000

Jacques BICHOT accepte un nouveau mandat comme président de FAMILLES de FRANCE à la condition que les statuts soient modifiés pour y introduire une limitation de nombre d’administrateurs n’ayant plus d’enfant mineur à charge. Il est élu par 22 voix pour, 2 voix pour Ph. Darantière et 1 abstention (la sienne)

CA du 16 décembre 2000

Refus du CA d’accepter une révision des statuts limitant au sein du Conseil le nombre d’administrateurs sans enfants à charge

31 janvier 2000

Lettre de Jacques BICHOT aux administrateurs les conviant à le rencontrer pour faire le point sur les contradictions entre les deux votes précédents

14 février 2001

Lettre collective de 14 administrateurs refusant le dialogue (H. Joyeux, M Fresse, A-M Cornavin, J Dupé, A-M Johanesse, Ph Darantière, V. Crespel, , K de Vaucorbeil, C Prévosteau, F Bas, D Féau, P Chrétien)

CA du 24 mars

Au vu des assurances que lui a donné par écrit Henri JOYEUX, Jacques BICHOT convoque un conseil d’administration pour le 7 avril suivant et annonce qu’il y remettra sa démission.

CA du 7 avril

Démission du président BICHOT

Présentation d’une liste par Dominique MARCILHACY avec Henri JOYEUX comme vice-président…

Déclaration de candidature d’Henri JOYEUX en séance. Celui-ci n’était pas candidat déclaré à la Présidence, il est élu sans programme par 15 voix contre 14.

Contestation de la présence au conseil d’administration d’au moins une personne n’ayant pas la qualité d’adhérent à FAMILLES de France.

Un bureau homogène est élu par les 15 administrateurs majoritaires sans aucune place ne soit proposée à l’opposition.

7 avril et jours suivants

Prise en main par Henri JOYEUX :

û      du site Internet (le code d’accès est retiré à Dominique MARCILHACY le 7 AM, 2h après la clôture du CA…),

û      de la lettre de FF : la rédaction en chef est retirée de fait à Jacques BICHOT (avec publication de ses articles sans son autorisation) et

û      du journal « Familles de France » : Béatrice STELLA, rédactrice en chef adjointe, n’est plus convoquée au comité de rédaction (même si son nom figure encore dans l’ours du journal).

Ces mesures immédiates ont été prises sans consultation préalable du CA qui en charge du choix des responsables de ces médias.

û      H. Joyeux rencontre le président du Conseil Economique et Social afin de l’informer de son intention de remplacer Dominique MARCILHACY par Marcel FRESSE

 

16 mai

Après avoir vainement tenté d’obtenir des justificatifs de la qualité d’adéhrent pour chaque personne présente au CA du 7 avril, Jacques BICHOT et 9 administrateurs saisissent le TGI de Paris d’un référé d’heure à heure. Celui ci rejette leur demande de report de la date du prochain CA mais contraint H. JOYEUX a accepter de fournir les justificatifs demandés.

16 mai

Expédition de « La lettre, la vraie » en réponse à l’envoi illégal de « la lettre de FAMILLES de FRANCE » parue sans l’accord de son rédacteur en chef Jacques BICHOT et avec des articles qu’il avait refusé d’y voir publier

19 Mai 

Tenue, en présence de deux huissiers, d’un CA houleux au cours duquel le CR du CA du 7 avril est vivement contesté.

Dominique MARCILHACY est confirmée dans son mandat au CES

Jacques BICHOT est révoqué de sa responsabilité de rédacteur en chef de « la Lettre » et Dominique MARCILHACY de celle de Webmestre du site.

1ier juin

« La lettre, la vraie » arrive à ses destinataires

6 juin

Convocation d’un CA extraordinaire, sans raison d’urgence valable, mais dans des conditions propres à modifier la composition des présents. Une convocation par télégramme téléphoné a lieu le lundi de Pentecôte pour le surlendemain 8h30. Cette différence d’information des administrateurs est flagrante : les 15 administrateurs de la majorité JOYEUX sont présents contre 3 de l’opposition.

Dominique MARCILHACY est révoquée de son mandat au Conseil Economique et Social

Henri JOYEUX habilité à exercer des poursuites contre les auteurs de « La lettre, la Vraie ». Il n’en fera rien toutefois jusqu’en octobre.

Annulation du CA convoqué depuis plus de 10 mois pour la veille de l’AG soit le 8 juin

 

8 juin (veille de l’AG)

Réunion de la « commission juridique ». La présidente refuse d’examiner la validité des mandats et suffrages des fédérations.

9 juin

Assemblée Générale annuelle

Une motion est proposée au vote par le Président de la Fédération de l’Isère demandant la dissolution du CA et le retour devant les électeurs.

Le refus d’Henri JOYEUX est appuyé par l’intervention d’un avocat lyonnais : Me DELSOL (proche de la « LA DROITE » de Charles MILLON).

Plusieurs incidents de séance se produisent puis les représentants de plusieurs fédérations départementales quittent l’AG à 12h.

Juin

Parution d’un numéro contesté sur l’éducation sexuelle dans la revue « Familles de France ». 9 pages sur 20 sont consacrées à la promotion des idées ou des ouvrages d’Henri JOYEUX et de sa famille

 

Ø      Constitution du « courant UNITE » de Familles de France regroupant les administrateurs et présidents de fédérations départementales critiques qui réclament le retour à l’UNITE de la fédération au travers du retour devant les électeurs. Alain SOURY-LAVERGNE en prend la responsabilité.

 

11 juin

Silence médiatique de FAMILLES de FRANCE lors de la Conférence de la Famille qui consacre pourtant l’abandon de tout projet en faveur des jeunes adultes à charge de leurs parents. « nous avons pensé que ce n’était pas utile» se contentera d’indiquer Henri JOYEUX.

30 juin

Convocation d’un CA extraordinaire la veille des vacances.

Ø      Marcel Fresse est nommé au Conseil Economique et Social par une décision contestée par l’opposition

Ø      en présence d’un huissier, diffamation de HP STELLA par la production d’un mél obscène qu’Henri JOYEUX lui impute mais qu’il refuse de lui communiquer.

Août

Ø      Demande d’A. Soury-Lavergne de disposer de moyens d’expression et de travail pour le courant UNITE dans le cadre de Familles de France. Refus d’Henri JOYEUX

Ø      Refus de Marcel FRESSE de donner à Dominique MARCILHACY la documentation nécessaire à la poursuite de ses activités dans le cadre d’éco-soc.

 

Septembre

Constat de la perte de compétence de la Fédération nationale dans les communiqués de presse (informations erronées) et déshérence progressive du site Internet.

22 septembre

Réunion de « brain storming » d’une partie des administrateurs (constituant une exclusion de certains administrateurs) sous l’animation de Vianney MALLEIN de ARTEA (prestataire de l’APPF et du « collectif des maires contre le PACS »), notoirement « proche de l’OPUS DEI »…

Ce choix pose un problème vis à vis du caractère non confessionnel de FF.

25 septembre

Départ d’une initiative nationale engageant l’ensemble de Familles de France : « les bars à fruits » non décidée par le Conseil d’administration de FF [1]

Début octobre

Démission de deux administrateurs : Anne BARRE et Ségolène de TAISNE qui préfèrent abandonner un CA devenu trop conflictuel.

4 octobre

Henri JOYEUX assigne Jacques BICHOT, Alain Soury-Lavergne et 4 autres personnes et leur demande de 110 000 F de dommages et intérêt pour dénigrement de FAMILLES de France et divers.

6 octobre

Conseil d’administration en présence d’un huissier:

Ø      Refus d’Henri JOYEUX d’entendre les observations de certains administrateurs qui contestent le PV du CA précédent  

Ø      Cooptation de nouveaux administrateurs sans que les membres du conseil d’administration aient avertis des démissions et sans que les cooptations aient été mises à l’ordre du jour.

Septembre et octobre 01  

 

 

Novembre 01

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CA du 8 décembre 01

 

 

 

 

 

Janvier 02

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conseil d'administration du 2 février 02

 

 

 

9 février 2002

 

 

 

 

 

7 et 16 mars

Utilisation par Henri JOYEUX du titre de président de FF pour des conférences diverses en région...  et sur son site Internet personnel et commercial (vente de livres et cassettes) : www.professeurjoyeux.com ù

Première conférence d'Henri JOYEUX à Lille et premier échec : organisée sans concertation avec la fédération et sans intervenant régionaux, 70 personnes seulement se sont déplacées. Thème : " le bien être en famille" ... avec trois interventions sur 5 consacrées à ... la pédophilie (?) ù

25 novembre : le nouveau site internet de la fédération est en ligne. Alors que l'ancien comportait plus de 600 pages et attirait de plus en plus d'internautes, celui ci ne compte que 30 pages au contenu indigent voire simpliste. Seule consolation : on peut y admirer 4 photos du Président et " de sa famille !ù

Le Conseil d'Etat refuse de se prononcer sur la validité de l'éviction de Dominique MARCILHACY du Conseil Economique et Social. "Revenez avec un jugement du TGI" déclare le Président du Conseil. ùù

Refus d'Henri JOYEUX :

* de mettre à l'ordre du jour les questions de l'opposition. 

* de répondre sur ses liens avec Bruno COMBY et Jean SEIGNALET, adeptes de l'Instinctothérapie. 

* de produire les "preuves" qu'il avance d'un "montage frauduleux" dont se serait rendue coupable D. MARCILHACY ùù

 

Appuyé par l'ensemble du courant "unité", Alain SOURY-LAVERGNE tente une réconciliation et l'ouverture d'un dialogue : il propose une rencontre à Henri JOYEUX. Après divers atermoiements, celui ci refuse sèchement. ù

Avec l'appui du secrétariat national, tentative de déstabilisation de la Fédération du Rhône par le truchement d'un ancien président de cette fédération retiré à l'autre bout de la France ù

 

 

Henri JOYEUX fait adopter par le CA une motion lui permettant d'expurger les comptes rendus des conseils d'administration des faits qui l'embarrassent.  ù

Accusée à tort d'espionner au profit de l'opposition à Henri JOYEUX, Zakia HAMAOUI (53 ans, 27 ans de bons et loyaux services) est licenciée sans préavis ni indemnités. 

 

Double échec médiatique : pas même une dépêche AFP pour relayer la conférence de presse de H. JOYEUX et M. FRESSE sur les attentes des familles en politique familiale et pas un seul journaliste présent lors du colloque sur les difficultés scolaires des enfants. Salle aux 2/3 vide ...

22 avril 2003

Le 8 février 2002, Mme Zakia HAMAOUI, salariée de la Fédération Familles de France depuis 27 ans, avait été mise à pied puis licenciée sans préavis ni indemnités par le Professeur Henri JOYEUX.

Le 22 avril 2003, le Conseil des Prud'hommes de Paris condamnait Familles de France à lui verser 48 065 € (340 000 F) d'indemnités*. En savoir plus

 

Juin 2003

Assemblée Générale de Familles de France

Les chiffres sont implacables : 41 000 adhérents de moins depuis l'arrivée d'H. Joyeux ...

4 juillet 2003 

L'Assemblée Plénière du Conseil d'Etat rétablit Dominique Marcilhacy dans son mandat au Conseil Economique et Social

 contacts ] procès ] nouveautés ] mot d'accueil ] et les familles? ] qui est Joyeux ] les véritables CA ] ce qui se passe ] accueil-bis ]

Accueil Remonter