Un avis peu conforme à celui de l'Eglise Catholique à propos de Medjugorje ...
Etudes médicales et scientifiques sur les apparitions de Medjugorje "Jamais le phénomène de l'extase n'avait été soumis in vivo à des tests scientifiques modernes : électro-encéphalogramme, électro-oculogramme, études des réflexes oculaires, tests du compportements, études des potentiels évoqués auditifs, et analyse de ce fait étonnant : l'extinction de la voix lors des apparitions (locution sans phonation). Ce livre offre les premières analyses en la matière : des tests et leur sens. Cette publication est le résultat des études accomplies au cours de nombreux voyages par un théologien et une équipe de cinq médecins, sous la direction du professeur agrégé Henri Joyeux, de la Faculté de Médecine de Montpellier. Aux questions du théologien font face les réponses des tests médicaux. Les conclusions sont de première importance au coeur d'un débat étrangement obscurci : "hallucinations collectives", a publié la presse mondiale... Nous avons ici la preuve du contraire. En extase, ces cinq adolescents ne rêvent pas, ne dorment pas, ne sont pas en état d'épilepsie, ni d'hallucination, ni d'hystérie ou catalepsie. Ces hypothèses sont exclues scientifiquement. Ces études médicales rendent aux jeunes de Medjugorje, dont les qualités sont appréciées par tous ceux qui les ont vus ou connus, leur réputation injustement bafouée. Rien n'est pathologique chez eux, ni dans leur vie relationnelle, ni dans leur comportement quotidien, ni dans l'extase même. Ce sont des jeunes normaux. Le message qu'ils ont transmis a pourtant conduit des centaines de milliers de chrétiens à jeûner au pain et à l'eau une à deux fois par semaine. Que signifie ce jeûne dans la bible et la tradition chrétienne? Pourquoi est- il mort? Pourquoi renaît-il? Comment jeûner pour le bien du corps, de l'esprit, de la foi et de la charité? Le professeur Henri Joyeux et l'abbé Laurentin l'expliquent, chacun sur son terrain : l'un médical, l'autre spirituel et historique. Ce livre, publié en 1985, est un document unique. C'est un témoignage scientifique capital sur le phénomène de Medjugorje. A l'heure où certains, aujourd'hui encore, parlent à leur propos de "manipulation", nous le rééditons sans rien y changer... |
La position de l'Eglise Catholique sur Medjugorje
Avant même que l'évêque de Mostar, Mgr Zanic, dont dépend Medjugorje, se soit publiquement prononcé, un autre évêque de la Yougoslavie d'alors prenait position en faveur des apparitions : le 19 décembre 1981, Mgr Franic, archevêque de Split, se rendait incognito à Medjugorje, et assistait à la prière du soir quotidienne dans l'église et à l'apparition. Il fut favorablement impressionné. En janvier suivant, dans le bulletin officiel de son diocèse, il écrivait : "Mes impressions sur la dévotion et la pratique à l'église furent très positives. " Tout en reconnaissant que le jugement sur l'authenticité des apparitions revient à l'Église, il publiait le jugement d'un théologien, le P. Robert Faricy, professeur à la Grégorienne : " Mon jugement d'ensemble en ce qui concerne le caractère authentique est très positif; je porte ce jugement après une très brève expérience et sans en référer à quiconque. " Bientôt d'autres théologiens de renom, notamment l'abbé René Laurentin viendront apporter leur notoriété à la cause de Medjugorje, relayés par d'innombrables journalistes catholiques dans le monde. Tous ces signes publics d'authentification expliquent dans quel contexte de pression les évêques successifs de Mostar ont dû agir. Le 11 janvier 1982, Mgr Zanic créait une commission officielle d'enquête de quatre membres, élargie, au début de l'année 1984, à une vingtaine de personnes (parmi lesquelles des théologiens et des médecins). Le 30 octobre 1984, il publiait un long rapport où était définie la "Position actuelle, non officielle " de l'évêché au sujet des apparitions. Il y exprimait ses " soupçons " et ses " doutes " sur le caractère surnaturel des faits. Il arguait notamment de prophéties non réalisées, de promesses de guérison non tenues, de mensonges d'une des voyantes et d'un différend entre lui et des franciscains sanctionnés où la Vierge avait encouragé ceux-ci à la désobéissance. Il concluait à l'" hallucination collective " orchestrée par un religieux de la paroisse, liée au Renouveau charismatique, le Père Vlasic. Cette " Position " suscita l'hostilité de Mgr Franic, de l'abbé Laurentin et des autres défenseurs de Medjugorje. Alors que Mgr Zanic aurait voulu publier un jugement canonique officiel, le 9 janvier 1987, le cardinal Kuharic, président de la Conférence épiscopale yougoslave, publiait un communiqué où il annonçait la création d'une nouvelle Commission d'enquête, placée cette fois sous l'autorité de la Conférence épiscopale et non plus du seul évêque de Mostar. Mgr Zanic, comme il en avait le droit, rendit public, en mars 1990, un rapport, définitif, entièrement négatif. La Conférence épiscopale yougoslave publia enfin, en avril 1991, une " Déclaration " qui affirmait : " Sur la base des études qui ont été faites jusqu'à maintenant, il n'est pas confirmé que des apparitions et révélations surnaturelles ont eu lieu ici. " Elle demandait aussi qu'à Medjugorje " soit promue une solide dévotion envers la Sainte Vierge Marie en accord avec la doctrine de l'Église ". Les défenseurs de Medjugorje ont voulu voir dans cette dernière recommandation une reconnaissance du culte de la Vierge de Medjugorje, comme il advint pour Beauraing, par exemple, où le culte de la Vierge fut autorisé avant la reconnaissance du caractère surnaturel des apparitions. C'est outrepasser le sens de cette recommandation. Ces mêmes défenseurs font courir le bruit selon lequel le dossier de Medjugorje serait à l'étude " à Rome " et qu'il faudrait désormais attendre une déclaration romaine. Mgr Peric, actuel évêque de Mostar, que nous avons interrogé, exprime une position plus tranchée : aucune autre commission, ni à Mostar, ni à Rome, ni ailleurs, n'est à l'oeuvre, aucune autre décision n'est donc à attendre; il n'y a pas de reconnaissance particulière du culte de la Vierge de Medjugorje mais une recommandation à une saine piété mariale; l'avis rendu en 1991 oblige les catholiques et conclut à un " non-constat de surnaturalité " des faits. Sources : http://ladoctrinecatholique.free.fr/Medjugorje_chiron.html
COMMUNICATION
The representative of the Minister General Br Stephan Ottenbreit, Vicar General of the Order And the Diocesan Bishop, Msgr Ratko Peric
Mostar, 20 February 1999 Br Stephan Ottenbreit, Vicar General of the Order of Friars Minor Msgr Ratko Peric, Bishop of Mostar-Duvno Shttp://mypage.bluewin.ch/cafarus/roma2eng.html |